摘要
授權條款
我,本作品的著作權持有者,決定用以下授權條款發佈本作品:
|
已授權您依據自由軟體基金會發行的無固定段落、封面文字和封底文字GNU自由文件授權條款1.2版或任意後續版本,對本檔進行複製、傳播和/或修改。該協議的副本列在GNU自由文件授權條款中。http://www.gnu.org/copyleft/fdl.htmlGFDLGNU Free Documentation Licensetruetrue
|
- 您可以自由:
- 分享 – 複製、發佈和傳播本作品
- 重新修改 – 創作演繹作品
- 惟需遵照下列條件:
- 姓名標示 – 您必須指名出正確的製作者,和提供授權條款的連結,以及表示是否有對內容上做出變更。您可以用任何合理的方式來行動,但不得以任何方式表明授權條款是對您許可或是由您所使用。
- 相同方式分享 – 如果您利用本素材進行再混合、轉換或創作,您必須基於如同原先的相同或兼容的條款,來分布您的貢獻成品。
https://creativecommons.org/licenses/by-sa/4.0CC BY-SA 4.0 Creative Commons Attribution-Share Alike 4.0 truetrue
Description complète
Cette description est disponible avec des illustrations sur la page dédiée du blog nojhan/art.
Avantages
Géolocalisation
Contrairement au plan de la RATP (et à la plupart des autres plans), chaque station est placée à sa position géographique réelle. Cela permet d'éviter de prendre une correspondance ou une station supplémentaire là où un peu de marche à pied vous aurait permis d'aller plus vite.
Par exemple, étant sur le RER, vous pourriez être tenté de prendre la correspondance à Saint-Michel pour rallier Cité... alors que vous iriez bien plus vite à pied !
Des petits ajustements d'ordres esthétiques ont été faits sur certaines positions de stations, par pour les aligner, là où un petit déplacement ne modifiait pas l'information.
Par exemple, la boucle de la ligne 7bis a été légèrement ajustée pour former un cercle parfait.
Le positionnement absolu permet également de se rendre compte du placement des zones, pour le RER, (parfois absentes des cartes RATP).
Il peut être intéressant de savoir que si vous souhaitez aller à l'université de Créteil, le métro 8 vous y amènera pour le prix d'un billet en zone 1, alors que le RER D vous coûtera le prix de la zone 3... ce qui n’apparaît pas sur le plan RATP !
La géolocalisation permet également de rendre compte des distances au sein d'une correspondance. Quand la distance entre les quais d'une même correspondance est inférieure à la taille du plot, un seul cercle est dessiné, mais quand les quais sont physiquement assez distants au sein d'une même station, ou quand la correspondance se fait entre deux stations proches, deux cercles sont dessinés. C'est particulièrement flagrant dans le cas de la station Montparnasse-Bienvenüe. Seule exception à cette règle : La Défense, qui est une seule station avec des quais proches, mais dessinés en deux plots, du fait de la différence de zone entre le métro et le RER (un piège à touristes bien connu).
La station Montparnasse-Bienvenüe est présentée comme une simple correspondance par la RATP... alors que pour passer des lignes 4/12 à 6/13, vous avez des longs couloirs à emprunter.
Couleurs
La palette de couleurs n'a pas été uniquement choisie pour des raisons esthétiques, elle a été conçue avec soin par Ethan Schoonover pour garantir :
- un contraste proche de ce que vous avez l'habitude de lire (typiquement, un livre à l'ombre et pas un magazine en plein soleil),
- des contrastes entre les teintes qui demeurent identiques sur fond sombre comme sur fond clair : Il est possible de passer de l'un à l'autre tout en gardant la même perception des contrastes de luminosités. Chaque mode est équivalent d'un point de vue lisibilité.
- des tons de gris avec des différences de luminosités symétriques (en CIE Lab).
- des tons colorés complémentaires avec des luminosités perçues comme équivalentes, légèrement ajustés pour rester esthétiques
La couleur de fond de la carte peut être passée du clair au foncé sans perte de contraste ou de perception de luminosité des couleurs, grâce à la palette "Solarized", ce qui est idéal pour une lecture optimale sur écran, en toute circonstance.
Elle est utilisable par des personnes atteintes de troubles de la perception des couleurs (daltonisme) : des marqueurs sont disposés sur les stations de correspondances, pour permettre de suivre le parcours des lignes, même sans percevoir les différences de couleurs. Pour éviter de trop surcharger visuellement, les correspondances où les lignes se croisent sans ambiguïté n'ont pas de marqueurs.
Le jeu de couleurs des lignes est différent de celui de la RATP (qui revendique parfois des droits d'auteurs farfelus), mais les couleurs de la palette les plus proches des originales ont tout de même été choisies (sauf pour la ligne 12, pour des raisons de lisibilités).
Elle est dans un format vectoriel, c'est à dire que chaque élément est un objet graphique affichable à n'importe quel résolution et modifiable facilement.
Ce format est le SVG, un dialecte de XML standardisé par et pour le web, ce qui veut dire que vous pouvez l'afficher directement dans la plupart des navigateurs web modernes, que les technologies du web (javascript, css, etc.) peuvent servir à le manipuler (changer les couleurs en fonction du déplacement de la souris, par exemple) et que vous avez la garantie lire le fichier avec différentes applications, sans que l'on vous en impose une.
L'emploi du XML permet également d'extraire automatiquement des informations du fichiers, à partir d'un programme informatique, de manière beaucoup plus simple qu'avec une simple image. Des informations sémantiques sont notamment présentes dans le fichier, sans forcément être apparentes graphiquement, comme une organisation des objets par types (bien qu'il y ait encore du progrès à faire de ce coté à l'heure où j'écris cet article).
J'ai utilisé le fameux éditeur « inkscape », comme il s'agit d'un (excellent) logiciel libre et gratuit, vous pouvez très facilement l'utiliser vous même pour améliorer la carte.
Divers
Les polices utilisées sont « Liberation Sans » (noms des stations) et « FreeSans » (macarons des lignes), garanties comme étant utilisables librement dans un document.
La limite de Paris intra-muros est indiquée, sans les bois de Vincennes et de Boulogne, ce qui est toujours pratique pour se positionner.
Le tracé des lignes suit (autant que possible) des courbes en arc de cercle, plus élégantes que des courbes de Bézier standard (effet « spirographique » sous inkscape) et plus faciles à suivre.
Les correspondances avec les stations de tram sont indiquées par des carrés et non des cercles, mais faute d'avoir leurs coordonnées géographiques, les stations ne sont pas reportées.
Inconvénients
La géolocalisation impose des contraintes de densités qui peuvent rendre certaines parties de la carte plus difficile à lire que d'autres (le quartier de Saint-Lazare, notamment).
La palette de couleurs ne disposant que de 8 couleurs alors que le réseau a une vingtaine de lignes, il y a des redondances. J'ai tenté de minimisé la gène occasionnée en éloignant au maximum les lignes de même couleurs, mais certaines correspondances restent monochromes (par exemple Montparnasse sud).
Sources
Les positions géographiques des stations ont été initialement mises à disposition par « Metropolitan », pour wikipédia : File:Paris_Metro_map.gif
Carte qui a ensuite été vectorisée par « Pmx » : File:Paris_Metro_map.svg
Les deux cartes sont disponibles dans le domaine public.
Ont également participés : Poulpy (pour avoir mis le fichier original sur Commons), Gonioul (tracé de la Seine), Otourly (une petite mise à jour), Greenski (mise en calques), Claire Laudy (consultance parisienne et pinaillages esthétique) et Simon Fossier (avis sur les tracés spiro).
Pour les amateurs de bidouille, si vous voulez l'historique des modifications ainsi que d'autres versions, vous pouvez également consulter et/ou forker le dépôt GIT que j'utilise : geometromap